Sucker Punch, on vous en parle presque depuis que GentleGeek existe : on l’a amoureusement attendu jusqu’à pouvoir le voir il y a quelques jours, lors de sa sortie française. Au final, le film a divisé les deux rédactrices de la rédac, accessoirement fan de Zack Snyder, réalisateur des excellents 300 et Watchmen pour ne citer qu’eux.
Du coup, après un débat à la suite de la séance, difficile de considérer qu’une seule et unique critique pourrait poser un point de vue concret sur ce film qui divise clairement ses spéctateurs : c’est pourquoi nous avons décidé de publier deux critiques.
La première, qui penche plus du côté positif de la balance, est celle de 406. La seconde, qui saute à pieds joints dans la flaque de la déception, c’est celle d’Aka. En cliquant sur les liens ci dessous, vous pouvez ainsi accéder à l’une ou l’autre de ces critiques. Et n’hésitez pas à nous donner votre avis sur la question !
Critique pour : Sucker Punch, une cinématique survitaminée
Depuis sa sortie en salle, Sucker Punch, le dernier film de Zack Snyder ne cesse de créer la polémique. Cela n’a pas dû vous échapper, les spectateurs s’écharpent sur les forums tant les avis sont tranchés. On aime ou on déteste ! Et qu’en est-il à GentleGeek ? Ce film était incontestablement attendu comme le messie numérique du geek, mais bien évidemment on n’échappe pas à la division. On a donc décidé de procéder à la méthode de la double critique : le pour et le contre. En l’occurrence, ici c’est le POUR !
Cliquez ici pour lire la Critique pour de 406 !
Critique contre : Sucker Punch, le grand couloir vide de Snyder
Attendu comme le messie depuis plus d’an an et teasé depuis des mois par la Warner sous la forme d’une campagne marketing savamment geekisée, Sucker Punch est probablement l’un des films que j’ai le plus surveillé de ces 10 dernières années. Difficile pour moi d’imaginer qu’une telle déception m’attendait au tournant : c’est la critique CONTRE le film !
Cliquez ici pour lire la Critique contre d’Aka !
Bon du coup, ça me donne envie d’aller le voir, histoire de me faire ma propre idée, mais au final, vous vous rejoignez pas mal, en fait… je laisserai donc mon cerveau au vestiaire XD.
Disons qu’il y a une des critiques qui est plus nuancée que l’autre ;)
A 10 € le vestiaire, je te souhaite de passer un bon moment XD.
Honnêtement, les deux critiques me semblent parfaitement justes après avoir vu le film : visuel très (trop) riche, histoire et articulations un peu pauvres. La seule différence que je vois réellement entre les deux avis, c’est la façon dont vous l’avez perçu, dont vous vous êtes investies dans le film…
Par contre, même pas un petit point sur la B.O. ? Les reprises n’étaient pas mauvaises, s’intégraient bien au film, et je cherche toujours à savoir si la Lennox House est un écho aux Sweet Dreams (Eurythmics, Annie Lennox).
Bon, je viens d’aller le voir, ce fameux film qui divise la rédaction. Et j’ai plutôt accroché en fait.
Visuellement, j’ai été happée d’entrée, bien aidée par une BO, comme le dit CyChop, qui dépote bien.
L’histoire ben, de toute façon, d’entrée, on comprend bien que c’est pas sur l’histoire que ça va se concentrer, mais sur la mise en scène de la fuite, dans tous les sens du termes, fuite de Lennox House, fuite du réel, fuite de la douleur, fuite de son propre soi, du coup, j’ai pas été gênée. Surtout que les personnages par lesquels transitent l’histoire sont incapables, de toute façon, de nous rendre une histoire bien articulée, ils sont sûrement déjà du mal à s’articuler eux-mêmes.
J’ai trouvé que le glauque de l’asile transpirait dans presque tous les plans, je n’ose, du coup, même pas imaginer ce qui se passe en dehors du cabaret. (et le sexisme parfois reproché y est pour pas mal, pour moi).
J’ai juste trouvé que certains plans nous prenaient un peu pour des billes, genre quand Baby Doll (haha, ce nom… tout un programme) arrive au tout début à Lennox House.
C’est pas le film du siècle, okay, mais je l’ai quand même trouvé plutôt bon.