The Witcher 3 : The Wild Hunt arrive le 19 mai prochain, c’est-à-dire très bientôt. A défaut de nous dévoiler de nouvelles images du jeu, CD Projekt RED annonce, déjà, les futures extensions.
CD Projekt RED avait annoncé il y a déjà un moment (à l’époque où la date de sortie du jeu était encore fixée à février 2015) que 16 DLC seraient disponibles gratuitement pour les possesseurs du jeu, DLC allant de la simple option cosmétique aux petites missions supplémentaires.
Alors que la date de sortie approche, le studio annonce qu’il y aura également deux extensions, payantes quant à elles.
La première, Heart of Stone, devrait arriver en octobre 2015, et devrait offrir une dizaine d’heures de jeu, dans les régions des Terres Désolées et d’Oxenfurt, pendant lesquelles Geralt tentera de remplir sa mission pour l’Homme de Verre.
La seconde, Blood and Wine, sera disponible au premier trimestre 2016, et promet quant à elle une vingtaine d’heures de jeu dans la région de Toussaint, région en paix mais qui cache derrière l’insouciance de ses mœurs un lourd secret (*dun dun duuuuuun*).
Ces deux extensions sont déjà disponibles en précommande via un Expansion Pass, pour 25 euros.
25 euros pour une trentaine d’heures de jeu, le deal semble honnête. Après, bien sûr, il faudra se pencher plus précisément sur le contenu : en annonçant si tôt ses extensions, le studio offre le flanc à la critique.
Déjà parce que certains trouvent légèrement hypocrite de critiquer les DLC payants, d’enfoncer le clou en offrant 16 contenus supplémentaires gratuits, puis BIM, d’annoncer du contenu payant. Ensuite, parce que les contenus additionnels payants sèment toujours le trouble actuellement, vu la politique un peu douteuse de certains à ce sujet. Et puis franchement, révéler un contenu prévu pour octobre, alors qu’on est à plus d’un mois de la sortie du jeu, c’est un peu étrange comme stratégie.
Après, n’oublions pas qu’une extension ou un DLC bien fait, c’est gagnant-gagnant : le joueur y gagne du plaisir, et le studio de l’argent. CD Projekt RED n’est pas connu pour ses politiques moisies, mais plutôt pour ses jeux de qualité. On a donc, a priori, toutes les raisons d’être confiants.
Via Geek.com