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Test : GT Omega Prime Cockpit, un excellent playseat pour le Simracing

En attendant l’arrivée du tant attendu Gran Turismo 7, voici notre test complet du dernier cockpit GT Omega Prime, un modèle de châssis en profilé aluminium. Evolutif, quasi-professionnel, le Prime se place parmi les meilleurs modèles du genre que nous ayons eu entre les mains, de par sa simplicité de montage, de réglage, et ses qualités mécaniques. Face à Simlab, TrakRacer, JCL, le Prime sait sortir quelques atouts.

Mis à rude épreuve sur Assetto Corsa Competizione et DiRT 5.0 avec un force feedback réglé à fond sur le dernier GT DD Pro de chez Fanatec, nous testons dans cette vidéo la rigidité du chassis, sa résistance aux vibrations, et la capacité de son support de pédalier à encaisser les plus gros freinages avec Load Cell.

Vendu exclusivement sur le site de GT Omega, ce Prime nous montre finalement peu de défauts pour de nombreuses qualités, et cette vidéo est là pour en attester. Que ce soit au montage ou pendant le test en jeu, à aucun moment nous ne le ménageons. Et pourtant, il résiste parfaitement.

Notez que si vous êtes intéressé par ce cockpit après avoir vu la vidéo, vous pouvez profiter du code OLIVE5 (véridique) pour économiser 5% chez GTomega. Un bon moyen de soutenir notre chaine Youtube. 

Bon visionnage et merci d’avance pour vos retours et commentaires directement sur ce billet ou dans la section commentaire Youtube.

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Wizards of the Coast fête l’officialisation de Street Fighter 6 avec une collection de cartes Magic Secret Lair

Magic : The Gathering Secret Lair x Street Fighter se présente comme une collection de huit cartes collectors, mettant en scène les principaux personnages de la franchise de jeux vidéo. Les précommandes sont d’ores et déjà ouvertes pour les collectionneurs !

L’annonce du jeu Street Fighter 6 a de quoi faire plaisir aux amoureux de Versus Fighting, mais pas seulement : en effet, Wizards of the Coast s’associe à Capcom pour proposer un nouvel ensemble de cartes Magic The Gathering collector ayant pour thème l’univers du jeu de baston.

Cette collection, nommée Magic : The Gathering Secret Lair x Street Fighter, se compose de 8 cartes mettant en scène 8 personnages emblématiques de Street Fighter : Honda, Ryu, Ken, Blanka, Chun-Li, Dhalsim, Guile et Zangief. Il s’agit des 8 personnages qui ont fait le succès de la franchise dès ses premiers épisodes !

Il est intéressant de constater qu’au-delà des superbes dessins présents sur ces cartes, les capacités des personnages ont inspiré leurs actions dans les jeux. La carte de Chun-Li est capable de multiplier les attaques, Dhalsim se téléporte, Blanka est une carte à deux couleurs… Ces cartes peuvent être intégrées à votre deck et créer la surprise, ou tout simplement être conservées comme de superbes objets de collection.

« Street Fighter et Magic : The Gathering viennent de genres très différents, mais les deux franchises ont des personnages incroyables, un gameplay riche et des connexions sociales avec les fans depuis des décennies », a déclaré Mark Heggen, Product Architect chez Wizards of the Coast. « Nous sommes des fans de longue date de Street Fighter, et ce partenariat est un rêve devenu réalité. »

Comme toutes les éditions Secret Lair, ces cartes Magic : The Gathering Secret Lair x Street Fighter sont disponibles en précommande pendant une durée limitée, exclusivement sur le site officiel de Wizards. Comptez 44,99 euros pour le set non foil, et 54,99 euros pour le set foil.

Et n’oubliez pas non plus que la nouvelle extension Kamigawa : la Dynastie Néon est désormais disponible à la vente \o/

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Essais et comparatifs du GT DD PRO, le nouveau volant officiel de Gran Turismo 7

Nous avons mis le GT DD PRO à l’essai, sur Gran Turismo Sport, Assetto Corsa Competizione, Dirt Rally 2 et face à ses principaux concurrents. De quoi se faire un avis complet sur la nouvelle référence sur simracing sur PC, PS5, PS4 ou encore Xbox One et Series.

Gran Turismo, c’est LA série de jeux de course réaliste la plus connue de l’histoire des jeux vidéo. Une série qui doit son succès à une orientation simulation grand public, laquelle a, au fil des générations, permis à de très nombreux joueurs de se donner aux joies de la course sur circuit. Depuis Gran Turismo 3, chaque épisode dévoile un volant officiel et nous avons vu tour à tour les fabricants Logitech puis Thrustmaster lancer des modèles de plus en plus aboutis, de plus en plus évolués. Pour la sortie de Gran Turismo Sport, nous avions même eu droit à deux modèles de Thrustmaster, avec d’un côté le T300 GT Edition et de l’autre le T-GT. Ce dernier intégrait une technologie exclusive à Gran Turismo Sport pour apporter des vibrations supplémentaires, en plus du retour de force devenu incontournable.

Avec la sortie de GT7, c’est un nouveau fabricant qui entre en piste : Fanatec. Loin d’être un débutant sur ce marché, Fanatec est avant tout un équipementier haut de gamme dans le monde du simracing et nombre des modèles de son catalogue sont utilisés par des simracers et des pilotes de renom. Et c’est un nouveau volant de ce fabricant qui accompagnera la sortie du prochain titre de Polyphony : le GT DD PRO. Déclinaison compatible PlayStation de son modèle CSL DD, le GT DD PRO nous a été confié par Fanatec pour réaliser un test complet, que nous vous proposons dans cette vidéo de près de 20 minutes.

Le test du GT DD PRO par Oliveroidubocal

A l’heure de réaliser ce test, les commandes amènent à une livraison en Mars, soit la même période que le lancement du jeu Gran Turismo 7. Le GT DD PRO est disponible uniquement sur le site de Fanatec.

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Test de Dying Light 2 Stay Human : le Parkour du Combattant

Après de longues années d’attente, Dying Light 2 : Stay Human est enfin disponible et avec lui, c’est la promesse d’un monde ouvert bien flippant qui s’offre à nous. Mission accomplie ? Réponse dans notre test.

En 2015, Dying Light nous offrait une visite agité de la ville d’Harran, alors confinée suite à la contamination de la population par un virus transformant les gens en infectés superviolents. Dans ce contexte, le joueur incarnait Kyle Crane, un agent du GRE envoyé sur place dans le but de trouver des documents liés à la création d’un vaccin potentiel. Mais au cours de sa mission, Crane découvrait l’objectif très sombre du GRE, bien décidé à atomiser la ville une fois les documents récupérés…

Dying Light 2 : Stay Human ne propose pas au joueur de reprendre le contrôle de Kyle Crane à Harran. A la place, c’est Aiden Caldwell, un jeune homme lui aussi friand de parkour, qui prend sa place, 15 ans après les événements du premier jeu. Aiden est un Pèlerin : c’est ainsi que l’on appelle les individus capables de parcourir des milliers de kilomètres pour transmettre un paquet ou une information. Mais Aiden a décidé de dévier de sa mission : il est à la recherche de sa jeune soeur Mia, mais aussi du bourreau qui s’est servi d’eux pour des expériences peu sympathiques lorsqu’ils étaient encore enfants. Une quête qui mène Aiden à Villedor, une cité barricadée comme Harran en son temps. Là-bas, les infectés rôdent, traqués par une milice armée, les Pacificateurs. Une occupation qui n’est pas du goût des habitants du Bazar, qui aimeraient bien pouvoir garder le contrôle de leur ville. Tiraillé entre les deux camps, Aiden doit bien choisir ses alliés pour atteindre ses objectifs.

Un monde ouvert immersif

Si la carte d’Harran était déjà vaste dans le premier Dying Light, celle de ce second opus n’a pas à rougir : elle s’avère quatre fois plus grande, et elle offre bien plus d’immeubles ouverts que le précédent volet. Bien évidemment, la verticalité est toujours de mise et pour vous échapper des créatures (et des humains) qui vous poursuivent, vous êtes fréquemment invités à monter le plus haut possible. Cela invite très clairement à l’exploration, et on se surprend fréquemment à se promener sans réel objectif, juste pour voir ce qu’un appartement aux fenêtres ouvertes peu bien cacher.

Par ailleurs, de nouveaux points d’intérêts ont fait leur apparition sur la carte. On peut citer les moulins, qui sont des structures à l’arrêt, qu’il faut gravir pour les réactiver et ainsi générer une électricité permettant au quartier de se débloquer. En fonction du lieu, le Bazar ou les Pacificateurs s’y installent, ce qui ouvre de nouvelles quêtes de nouveaux marchands. Des camps présents sur les toits sont aussi utiles pour récupérer des ressources permettant, notamment, de produire des objets de soin. On trouve aussi des magasins abandonnés, qui regorgent de ressources, mais nous y reviendront.

Villedor by Night

Évidemment, l’une des mécaniques caractéristiques de Dying Light, c’est le fait que le monde change totalement la nuit : sur ce point, Dying Light 2 fait du bon travail. En effet, dans Dying Light premier du nom, il était finalement assez facile de ne pas s’attarder plus que de raison dans les rues obscures d’Harran et en se limitant aux quelques missions qui devaient se faire de nuit, il était possible de finir le jeu sans vraiment se frotter aux dangereux ennemis nocturnes. La donne change littéralement au sein de Dying Light 2 !

Tout d’abord, les missions qui se déroulent obligatoirement la nuit sont plus nombreuses, ce qui oblige a attendre que le soleil se couche pour les réaliser. Ensuite, on trouve des points d’intérêts qui, à moins d’être très bien équipé ou totalement suicidaire, ne sont accessibles que la nuit, quand les revenants se promènent dans les rues. Dans ces magasins et autres sites du GRE abandonnés, les matériaux foisonnent et on y trouve aussi des artefacts absolument essentiels à la progression d’Aiden dans ce monde de fou. Impossible, donc, d’aller simplement se coucher une fois la nuit tombée en attendant le lendemain : affronter ses peurs est nécessaire ! Après tout, Dying Light 2 est un jeu horrifique en plus d’être un open world où l’on saute de toit en toit.

Aiden, un héros qui s’accroche au branche

Dans Dying Light, Crane était un militaire déjà bien aguerri au début du jeu, qui se retrouvait infecté à son arrivée à Harran. Mais en dehors de certaines pirouettes scénaristiques qui impliquait sa lente contamination, cela n’entravait pas vraiment le gameplay. Là aussi, changement de rigueur dans Dying Light 2 : surprise, Aiden se retrouve lui aussi contaminé assez rapidement par un Volatile, une créature nocturne féroce. Dès lors, il doit rester en plein jour, ou bien à la lumière d’une lampe UV, sans quoi il risque de se transformer lentement mais surement en infecté.

Cela signifie qu’une fois la nuit tombée ou une fois entré dans un bâtiment obscur, un compte à rebours se déclenche, et il faut à tout prix éviter qu’il ne tombe à zéro, sans quoi Aiden se transforme, et la partie est perdue. Cela multiplie les enjeux, surtout en début de partie lorsque le délai de transformation est réduit. Pour augmenter la résistance d’Aiden, il faut trouver des inhibiteurs que le GRE a laissé trainer çà et là dans la ville. Il n’est jamais évident de mettre la main dessus.

Cerise sur le gâteau : pour les trouver, il faut bien souvent sortir la nuit pour explorer des points d’intérêts qui sont infestés de revenants en journée. Ces derniers ont, en effet, besoin de se protéger des UV, et lorsqu’ils sortent dehors la nuit, cela laisse le champ libre pour explorer des bases militaires mais aussi des magasins et autres logements abandonnés. N’espérez pas trop être tranquille, cependant, puisque des « dormeurs » trainent quand même dans le coin. Les réveiller n’est jamais très bon, à moins d’être armé en conséquence.

Au fur et à mesure que le temps passe, on progresse dans tous les aspects du jeu, et la résistance au virus n’est pas le seul point qu’Aiden peut perfectionner. Deux arbres de compétences évoluent en parallèle : le combat d’un côté, et le parkour de l’autre. La progression se fait de manière naturelle, en cohérence avec le style de jeu. Au bout du compte, on devient très fort, très endurant et donc plus confiant. Et ça fait du bien !

Un scénario plus profond

Si l’on pouvait reprocher à Dying Light un scénario très manichéen, avec les gentils de la tour d’un côté et les méchants de Raïs (et du GRE !) de l’autre, Dying Light 2 creuse un peu plus de ce côté là. Les deux camps qui s’opposent ont tous les deux des qualités et des défauts, et Aiden a de bonnes raisons de faire confiance à certains personnages-clés des deux côtés. Cependant, il lui faut parfois prendre des choix personnels, d’autant plus que ses objectifs à lui n’ont rien à voir avec ceux des autres. A moins que…

L’ambiguïté des situations se ressent dans la mise en scène des dialogues et dans le fait que certaines quêtes peuvent avoir une issue différente en fonction des choix réalisés. Il faut donc choisir prudemment la manière de parler à certains personnages, car une phrase mal placée peut avoir de graves conséquentes immédiates, ou plus tardive. Si l’on ne va pas aussi loin qu’un Mass Effet, par exemple, force est de constater que l’implication est plus forte que dans le premier opus où le joueur était alors simple spectateur des événements.

La quête principale se boucle en 20 heures en ligne droite et si vous comptez faire toutes les quêtes et réussir tous les défis, il en faut beaucoup plus. Cependant, forcément, une fois les quêtes principales et secondaire bouclées, on se voit mal jouer 500 heures comme l’évoquent les développeurs de TechLand ! Mais du contenu additionnel est attendu, alors, pourquoi pas après tout.

Un jeu convaincant, mais pas sans défaut

Sur bien des aspects, Dying Light 2 : Stay Human est grisant et il offre une expérience vraiment prenante. Cependant, passer autant de temps dans un jeu fait aussi ressortir ses défauts, et le titre en a. Tout d’abord, malgré un patch day one important, le titre est encore riche en bugs : difficultés à gravir certains rebords, revenants qui se figent, soucis de collisions… rien de bien grave dans un open world, et on imagine que les développeurs affineront tout cela au fil du temps. Par ailleurs, l’intelligence artificielle des ennemis, autant humains d’infectés, laisse à désirer. Et le mode de difficulté ni change pas grand-chose, d’ailleurs.

Autre point décevant : la version française du jeu qui, sans pour autant être une catastrophe absolue, se révèle bien inégale aussi bien au niveau de l’interprétation des personnages, que de la maîtrise technique. Entendre une petite fille soudainement prendre la voix d’une adulte pour un souci de mixage, dans un jeu AAA, ça fait un peu tache. Là aussi, on peut espérer un patch pour régler la situation mais cela servira surtout aux joueurs patients, qui attendront que des optimisations soient appliquées avant de se lancer. Autre solution : jouer en anglais… mais c’est un peu dommage quand l’effort de produire une version française est fait !

Enfin, on peut aussi noter que si le jeu dispose de la possibilité de jouer jusqu’à quatre joueurs en mode collaboratif, cette fonctionnalité n’a pas été particulièrement plus poussée que dans le premier volet, et elle reste donc plutôt anecdotique, malgré l’intégration de certaines mécaniques collaboratives, comme un système de vote pour les dialogues. Dying Light 2 est clairement un jeu qui a été conçu pour être joué en solo à la base : c’est d’ailleurs dans ce mode de jeu qu’il se révèle plus intense, lorsqu’on est seul face aux dangers de ce monde hostile.

Une expérience immanquable pour les amoureux d’open world

Dying Light 2 : Stay Human n’est certes pas parfait, mais de toute façon, la perfection, ça n’existe pas ! Si vous aimez les mondes ouverts et que vous aimez vous faire peur, le jeu de Techland est incontournable. Alors ne boudez pas votre plaisir !

Test réalisé sur la version PC du jeu.

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Imprimer un Steam Deck en 3D ? C’est possible !

Valve vient de mettre en ligne des fichiers permettant d’imprimer le châssis de sa console Steam Deck en 3D. Une main tendue vers les moddeurs, mais on imagine que cela va ouvrir la porte à de nombreux délires.

Vous possédez une imprimante 3D ? Alors vous pouvez imprimer votre propre Steam Deck ! Enfin, en quelque sorte. En effet, avec les fichiers STP, STL et DWG que vient de publier Valve directement sur sa plateforme Steam, il est possible d’imprimer en 3D le châssis de sa toute nouvelle console de jeux… oui, le châssis uniquement, ne rêvez pas ! Cependant, cela peut ouvrir la porte vers de nombreuses possibilités si les bidouilleurs sont au rendez-vous.

En effet, en proposant ces fichiers, Valve tend clairement la main vers les moddeurs, les entreprises qui fabriquent des accessoires, ou encore les personnes désireuses d’imprimer leurs propres répliques en 3D. Comme les fichiers peuvent être modifiés, on imagine facilement une version équipée d’un Raspberry Pi, par exemple.

Impression en résine à l’aide d’une Elegoo Saturn, ou bien en plastique via du PLA par l’intermédiaire d’une bonne vieille Ender 3 V2, tout semble possible à ce stade ! Alors à vous de jouer si vous possédez le matériel adéquat : les fichiers sont à télécharger gratuitement sur Gitlab.

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Une bande-annonce pour la série TV Halo

Annoncée il y a de très longues années, l’adaptation en série TV de la franchise de jeux vidéo Halo s’apprête à débarquer sur Paramount Plus le 24 mars prochain. Elle s’illustre à travers une bande-annonce.

Si on ne sait pas encore quand il sera possible de visionner légalement la série Halo en France, il est d’ores et déjà possible d’en avoir un aperçu grâce à la bande-annonce diffusée sur Internet dimanche en fin d’après-midi. C’est Paramount Plus qui proposera le programme aux États-Unis.

Si cette vidéo de deux minutes montre un lot d’action plutôt spectaculaire, cela n’empêchera pas les fans de la franchise Halo de tiquer sur le côté « non canon » du scénario. Master Chief n’est plus le dernier Spartan et même si l’on retrouve certains personnages issus des jeux (comme l’IA Cortana ou le Dr. Catherine Elizabeth Halsey), l’histoire s’annonce différente sur de nombreux points.

A n’en pas douter, l’objectif de cette série Halo est de mener une opération séduction auprès des spectateurs qui n’ont jamais joué aux jeux vidéo édités par Microsoft. Et si, au passage, les joueurs peuvent adhérer, c’est encore mieux. Après tout, la franchise Halo a désormais plus de 20 ans – le premier opus est sorti sur Xbox en 2001 – donc une petite réécriture de l’histoire n’est pas forcément malvenue.

Sous le casque du Major, on retrouve Pablo Schreiber (oui, Pornstage d’Orange Is the New Black). Il est accompagné par Natascha McElhone (Dr. Halsey), Yerin Ha, Charlie Murphy ou encore Jen Taylor, qui est la voix officielle de Cortana dans les jeux et qui reprend ici son rôle.

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Une bande-annonce finale pour le film Uncharted

Nathan Drake débarque au cinéma le 16 février prochain, sous les traits de Tom Holland. Une ultime bande-annonce vient d’être dévoilée, et le timing est excellent.

Sony a le sens du rythme : en effet, le studio a attendu la sortie de Uncharted : Legacy of Thieves Collection sur PS5 pour publier la bande-annonce finale d’Uncharted, le film, sur sa chaîne YouTube. Réalisé par Ruben Fleischer, ce fil très attendu avec Tom Holland, Mark Wahlberg, Sophia Ali et Tati Gabrielle raconte les premières aventures de Nathan Drake (Holland), accompagné de son ami et mentor Sully (Walhberg).

Rendez-vous est pris mercredi 16 février pour enfin découvrir Uncharted sur grand écran. En attendant, vous pouvez découvrir ou redécouvrir Uncharted 4 et Uncharted : The Lost Legacy sur PS5 !

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As Far As The Eye, Stellaris… voici les jeux Amazon Prime à récupérer gratuitement en février

Comme chaque mois, les adhérents du programme Amazon Prime peuvent récupérer des jeux offerts dans le cadre de l’offre Prime Gaming. Si c’est votre cas, voici les jeux disponibles en cadeau en février.

Amazon Prime est un abonnement intéressant si vous commandez régulièrement sur Amazon, ou si vous aimez regarder les séries ou des vidéos sur Amazon Prime Vidéo. Mais saviez-vous que votre abonnement vous donne aussi accès à des jeux PC offerts tous les mois ? De quoi amortir encore plus facilement les 49 euros annuels que coûte cet abonnement.

Cinq jeux offerts par Prime Gaming en février

A partir du 1er février, Amazon Prime frappe fort en offrant pas moins de 5 jeux à ses abonnés. Les voici :

  • Stellaris – Dans ce jeu de stratégie de science-fiction, les joueurs plongeront dans un vaste univers. En interagissant avec des races extra-terrestres, en découvrant de mystérieux nouveaux mondes et en affrontant des événements imprévisibles, c’est à eux que reviendra la mission d’étendre les limites de leur empire !
  • Ashwalkers: A Survival Journey – Avant d’arriver à l’une des 34 conclusions de ce jeu, les joueurs traverseront un monde en ruine, sans foi ni loi. Au programme : gestion de la nourriture, de l’équipement et des dilemmes moraux.
  • As Far As The Eye – L’objectif est simple : aider sa tribu à atteindre le centre du monde. Pour y arriver, ce ne sera pourtant pas la même paire de manches. Ce roguelike au tour par tour contient des éléments de gestion poussés qu’il sera nécessaire de manier pour faire face aux événements, naturels ou non, générés de manière aléatoire.
  • Double Kick Heroes – Sur l’autoroute de l’Enfer, rien de mieux que de massacrer des zombies en rythme sur du rock !
  • Golazo! Soccer League – De l’arcade pure jus pour ce jeu de football où les hors-jeux et les fautes n’existent pas.

Notez que Prime Gaming offre également des contenus inédits dans certains jeux. En février, le programme comprend :

  • Rainbow Six Extraction – Pour faire face aux invasions extra-terrestres, les membres Prime pourront mettre la main sur le pack Rubicon pour tous les opérateurs.
  • FIFA 22 – Dans le Pack Prime Gaming #4 pour la simulation de football, les joueurs retrouveront : 7 joueurs or rares, 2 choix de joueurs 82 OVR, 12 consommables rares et 1 joueur de prêt (Salah, 20 matchs)
  • Blankos Block Party – Deux bundles s’offrent aux joueurs ce mois-ci dans le MMO free-to-play. Le Pack Mashup contient 20.000 Moolas, 3 boules de gomme et 10 grands jetons d’XP. Le 1er février, un nouveau pack incluant 500 Blankos Bucks et un accessoire sera disponible.
  • Lords Mobile – Du 7 au 21 février, les membres Prime pourront mettre la main sur le Pack Seigneur de Guerre contenant les éléments suivants : Retraite d’escouade, Redistributeur aléatoire, Redistributeur, Anti-espionnage (24h), Boost de taille d’armée (20%), Coffre de larve. De plus, le Pack Progression pourra être récupéré entre le 21 février et le 7 mars. Il contient : Accélération (60m), Recherche accélérée (60m), Entrainement accéléré (60m), Plastron Noceros et Coffre Griffon.

Vous n’êtes pas encore membre d’Amazon Prime ? Vous pouvez profiter d’un mois d’abonnement offert et ainsi récupérer tous ces jeux et bonus gratuitement : rendez-vous ici pour en profiter. Libre à vous de rester abonné ensuite si vous le désirez.

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Star Wars : Respawn Entertainment annonce trois jeux en développement

Electronic Arts et Lucasfilm Games confient le développement de trois nouveaux jeux Star Wars à Respawn, à l’origine du plutôt bon Star Wars Jedi : Fallen Order. De quoi nous occuper un bon bout de temps, on espère pour le meilleur.

Star Wars Jedi : Fallen Order a reçu un bon accueil lors de sa sortie, fin 2019. Cela a vraisemblablement donné envie à Electronic Arts et Lucasfilm Games de confier davantage de projets à Respawn Entertainment, à en croire l’annonce du jour : le studio planche sur pas moins de trois nouveaux jeux qui prennent place dans l’univers de la franchise.

Au programme, un nouveau FPS, un nouveau jeu de stratégie et un autre titre, qui n’est autre que la suite de Fallen Order. « Le directeur du jeu Stig Asmussen et son équipe travaillent déjà sur le prochain jeu de la série d’action-aventure Star Wars Jedi, et ils sont rejoints par deux nouvelles équipes qui s’activent pour offrir des expériences de jeu Star Wars  supplémentaires dans d’autres genres », explique le communiqué de presse.

Le jeu de stratégie se présente comme une collaboration entre Respawn et Bit Reactor, qui seront en charge, respectivement, de la production et du développement. Quant au FPS, il est entre les mains de Peter Hirschmann, un Game Director qui connaît bien Star Wars pour avoir notamment travaillé sur plusieurs épisodes de LEGO Star Wars mais aussi sur Star Wars : Lethal Alliance, Star Wars : The Force Unleached, Star Wars : Empire at War ou encore Star Wars : Battlefront 1 et 2.

Si on a pu être en manque de jeux Star Wars durant une période, une chose est sûre, cela ne sera pas le cas dans les prochaines années. Rappelons au passage qu’un remake de Star Wars KOTOR est aussi attendu…

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Press Reset : pourquoi il ne faut pas louper le nouveau livre de Jason Schreier

Journaliste spécialisé dans les coulisses du jeu vidéo, Jason Schreier a sorti l’année dernière son deuxième livre sur le sujet : Press Reset. Celui-ci arrive en version française début février chez Mana Books.

Jason Schreier est un journaliste qui en connaît un rayon sur le crunch dans les studios de développement de jeux vidéo, sur les affaires de harcèlement, burn out, production chaotique et autres petits scandales qui parsèment cette industrie. Dans son premier livre, Du Sang, Des Larmes et des Pixels, sorti en France en 2018, il racontait les coulisses du développement de titres comme Destiny, Diablo III, Uncharted 4, Pillars of Eternity, et quelques autres. Heureusement, certaines histoires finissent bien, et tout n’est pas totalement noir dans l’industrie du jeu vidéo.

La face cachée des jeux vidéo

Depuis, Shreier a quitté Kotaku pour rejoindre Bloomberg, mais son crédo n’a pas changé : il continue à mener des enquêtes auprès de collaborateurs actuels et anciens de différents studios de développement vidéoludiques, pour en raconter les coulisses. Dans Press Reset, le journaliste s’intéresse notamment aux histoires derrière les jeux Bioshock Infinite, Epic Mickey ou encore Dead Space, pour n’en citer qu’une partie. A l’heure où l’on parle de plus en plus du malaise des développeurs dans le monde du jeu vidéo, un ouvrage comme Press Reset ne fait pas qu’informer : il pousse aussi à réfléchir sur le prix à payer pour pouvoir se divertir sur sa console ou son PC.

Un livre bientôt disponible chez Mana Books

Dès lors, on ne peut que saluer l’initiative de Mana Books d’éditer le nouvel ouvrage de Jason Shreier en français. L’éditeur est déjà à l’origine de la sortie de son précédent ouvrage dans l’Hexagone, ce n’est donc pas spécialement une surprise, mais la démarche reste appréciable. Pour lire Press Reset dans la langue de Molière, il faudra cependant attendre le 3 mars 2022.

En attendant Press Reset, et si vous ne l’avez pas encore lu, Du Sang, des Larmes et des Pixels est toujours disponible.

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Test de Crysis Remastered sur Switch : une franchise culte remise au goût du jour

Valeur sûre de l’univers des FPS, Crysis a récemment profité d’une remasterisation de ses trois épisodes, sous la forme d’une compilation. Cette dernière est sortie sur Nintendo Switch, et nous avons pu la tester. Alors, la qualité est-elle toujours au rendez-vous ? On fait le point.

Lors de sa sortie initiale sur PC en 2007, Crysis premier du nom avait su marquer les esprits de par un gameplay nerveux et inventif, une carte semi-ouverte, et surtout par des graphismes ahurissants, capables de mettre à genou même les machines les plus solides. Sont ensuite sortis Crysis 2 en 2011 puis Crysis 3 en 2013 : malgré un effet de surprise forcément moins fort, la qualité, en particulier esthétique, était toujours là.

Cela fait désormais 8 ans que Crysis n’a pas livré de nouvel épisode aux joueurs, mais malgré tout, la franchise n’a pas l’intention de sombrer dans l’oubli. Le studio Crytek s’est donc décidé à sortir Crysis Remastered Trilogy, une compilation des trois épisodes de la franchise un brin dépoussiérés. Bonne nouvelle, la Nintendo Switch y a également droit, ce qui peut permettre aux Nintendophiles pur jus d’enfin toucher à ce monument du FPS. Mais les attentes sont-elles satisfaites ? Globalement, oui.

Trois salles, trois ambiances

Les trois Crysis ont leur qualité graphique en commun, mais ils délivrent tous les trois une atmosphère différente. En effet, on ne joue pas le même personnage dans chaque jeu, et l’ambiance est différente également : le premier opus nous permet de jouer le soldat Nomad dans la jungle, le second nous met dans la peau du marine Alcatraz à New York, et le troisième revient dans la même ville 25 ans après, aux commandes du soldat Prophet. La progression de la saga se fait à travers l’invasion des Cephs, une race extraterrestre bien décidée à éradiquer la race humaine.

Si les deux premiers volets valent le détour, le troisième est très inégal et symbolise l’essoufflement de la saga. Pour autant, il s’avère essentiel pour boucler la boucle et donner une réelle conclusion à une trilogie qui reste emblématique malgré ses défauts.

Un portage Switch à la hauteur

Si Crysis Remastered Trilogy a soufflé le chaud et le froid lors de sa sortie sur PC, PS4 et Xbox One en 2020, puis sur PS5 et Xbox Series cette année, on peut saluer le fait que la version Switch s’en sort plutôt honorablement bien. Certes, ne vous attendez pas à profiter de graphismes époustouflants sur la console de Nintendo : que ce soit en version dockée ou en version mobile, elle n’est pas réellement capable d’entièrement donner le change côté visuel. Certes, le rendu est beau pour de la Switch, mais les textures sont régulièrement un peu floues et les effets de crénelage sont également souvent au rendez-vous, en particulier dans les deux premiers opus. Le troisième s’en sort un peu mieux, dommage que ce soit le moins intéressant et le plus court !

Concrètement, l’optimisation a donné la priorité à la fluidité des trois jeux et c’est sans aucun doute une bonne chose, car la franchise Crysis propose un gameplay nerveux, d’autant plus si vous choisissez un mode de difficulté élevé. La Nintendo Switch permet de profiter de l’ambiance immersive des différents volets qui oscillent entre sensation de liberté et atmosphère oppressante tout au long des scénarios proposés.

Si vous décidez de jouer en mode portable, vous pouvez profiter de la fonction gyroscope pour viser tout en orientant la console. Si cette manière de jouer n’est pas trop votre truc, vous pouvez parfaitement la désactiver. On note que le côté tactile de l’écran n’est, quant à lui, pas pris en charge, ce qui n’est pas très grave puisque la navigation dans les menus se fait très bien avec les contrôles classiques.

Une compilation parfaite pour découvrir la franchise

Si vous étiez passé à côté de Crysis et ses suites lors de leur sortie, et que vous êtes avant tout adepte de la Switch, alors cette compilation peut vous permettre de rattraper efficacement votre retard, en profitant d’un portage de qualité.

Néanmoins, si vous n’avez déjà joué à Crysis et que vous connaissez les jeux par cœur, cette version du remaster n’a pas vraiment d’intérêt pour vous. Switch oblige, elle est en deçà de la proposition que l’on trouve sur les autres plateformes, qu’il s’agisse du PC ou des consoles PS4/PS5 ou Xbox One/Series. À moins de vouloir essayer Crysis sur tous ses supports, mieux vaut réserver cette version à ceux qui n’ont que la Switch pour en profiter.

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Aperçu de Silicon City, un city builder rétro, simple et fun

Silicon City, le premier jeu du studio français indépendant Polycorne, arrive en early access sur Steam le 14 octobre. On a pu le tester avant l’heure pour vous offrir un petit aperçu de ce city builder qui se présente comme l’héritier spirituel de la franchise Sim City.

Pour faire simple, Silicon City est un héritier de Sim City 3000 qui, malgré son style rétro, vise clairement les enjeux d’aujourd’hui. Les Silizens aiment exposer leur vie à travers les réseaux sociaux et réclament toujours plus d’espaces verts.

Trois modes de jeux sont actuellement disponibles :

  • Le mode histoire, dont la version actuelle se boucle en 30 minutes, introduit les différentes mécaniques du jeu.
  • La partie classique est quant à elle le mode de jeu principal.
  • Enfin, un challenge hebdomadaire est proposé, avec ici une mission simple à accomplir le plus vite possible.

D’autres modes de jeux devraient apparaître dans le futur, notamment un mode multijoueur en versus.

En partie classique, le premier objectif est évidemment de faire venir les premiers habitants dans votre ville. Et c’est particulièrement simple. Le studio français Polycorne a opté pour un gameplay axé arcade, sans même une pointe de micro-management, à l’inverse de la plupart des jeux de city building.

Depuis l’onglet construction, on commence donc par créer une zone résidentielle pour accueillir les Silizens. On prévoit aussi un autre type de zone, ou directement des bâtiments de son choix, pour leur permettre de trouver un travail. On connecte l’ensemble avec une route. Pour finir, on construit une éolienne contre la route. Et c’est tout ! Quelques dizaines de secondes plus tard, les premiers habitants viennent et vivent leur vie.

 Au fur et à mesure que la ville grandit, de nouvelles options se déverrouillent, pour permettre de customiser toujours plus la ville de vos rêves.

 Si vous estimez avoir rendu de fiers services à la ville, vous méritez bien d’installer votre maison au milieu d’une grande place piétonne, avec un îlot de verdure et un court de tennis.

L’onglet budget permet de modifier les taux d’imposition des différentes zones et d’affecter plus ou moins de budget aux services publics. Cela dit, dans la version actuelle de Silicon City, l’économie n’est pas vraiment un problème, l’argent coule à flots, et si on est pressé, on peut même emprunter à la banque.

Au niveau des commandes, l’ensemble apparaît intuitif, hormis la gestion manuelle de la caméra qui demande d’utiliser les trois boutons de la souris.

On peut aussi s’intéresser à la vie de nos Silizens. Par exemple, certains font preuve de courage et de dévouement. D’autres sont plus attachés à la redistribution des richesses vers leur personne.

Si le jeu est d’ores et déjà jouable et (presque) sans bugs, de nouvelles fonctionnalités sont en cours de développement. En particulier, un système d’élections est prévu d’ici la fin de l’année.

Notre avis en accès anticipé

Clairement, Silicon City est agréable à jouer et relaxant. Toutes les fantaisies sont permises sans avoir besoin de réfléchir à comment y arriver. On a l’impression de ne jamais faire d’erreur. Il suffit de poser un bâtiment, et il s’intègre naturellement à la ville, plus ou moins vite. Les habitants ont l’air foncièrement heureux et volontaires. On peut aussi flâner en les regardant vivre chacun leur vie et en leur répondant sur les réseaux sociaux. Tout le contraire des Sim City à l’ancienne où très vite les habitants avaient sans arrêt des réclamations qui entraient en conflit les unes avec les autres et où le budget avait du mal à suivre. Tout le contraire, aussi, d’un jeu comme Soviet Republic par exemple, encore plus exigeant, où le moindre grain de sable est capable de mettre la moitié de la ville à l’arrêt.

En conclusion, Silicon City semble s’adresser, pour l’instant, à un public néophyte compte tenu de son niveau de facilité, du moins dans les premières heures de jeu. Cet avis pourrait évoluer si les futures mises à jour, en particulier celle introduisant le système d’élections, s’avèrent poser un réel défi.

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